http://www.deezer.com/listen-618073 (en fond musical)
Une belle nuit, les étoiles était belles et bien visibles. Le nain masqué les regardait depuis 10 bonnes minutes sans broncher, l'écoulement de l'eau via un caniveau dans les canaux de Hurlevent, par un moment des pas léger attirait son attention, des passants avec plus ou moins de choses importantes a dire a faire. L'esprit du nain était focalisé sur ce qu'il était hier, et ce qu'il serait demain : l'avenir.
Depuis qu'il avait prit un rôle dans les affaires du royaume les gaffes n'avaient pas cessé de lui tomber dessus comme si a chaque cascade franchit une autre arrivait. Ecarlates, gardes, rédempteurs, gangs de malfrats, nécromanciens, tous avaient leur place dans ce melting pot médiéval. Pourtant chacun d'eux avait une mauvaise face, selon le nain, trahisons, affaires sombres, histoires maléfiques, affaires non classés...
Les amis qu'il s'était fait a présent avait tous un doute sur lui, le double jeu mené pour trouvé sa place commençait a lui retomber dessus. Pourtant il savait ce qu'il voulait et il savait ou il allait.
Se soir là il avait atteint le summum de son agacement il envoyait de plus en plus souvent bouler ses contacts et amis respectifs. Les affaires prenaient une place trop importante dans sa tête, un vide s'imposait.
Pour ce faire il n'y avait que des impasses.
Il continuait de regarder les étoiles encore cinq bonnes minutes. un son retentit derrière lui et instinctivement il dégaina hache et lame dans chaque main. Sa souplesse fit le travail et il était en deux seoncdes prêt a parrer son adversaire.
Un gamin avait fait tomber son paquetage derrière lui ...la tête incrédule il regardait le nain avec un mélange d'inquiétude et de surprise.
-"Sale petit con ! Bordel de cul d'cannard" Il rengaina.
Puis il repartit vexé, contre lui même d'avoir réagi ainsi. Il était sur les nerfs, un vide s'imposait.
Aussi il quitta les quartier peuplés pour se diriger vers le port a la recherche de calme, de réponses a ses questions. Une fois installé au bord d'un quai la citée endormie n'avait plus de raisons de l'inquiéter. Un bruissement d'aile et son faucon atterrit sur son épaule.
-"Quel bordel toutes ces affaires, des jeux de cartes, des fous, des rêveurs, des runiques". Rien ne l'inspirait mais tout avait son importance dans cette partie d'échec qui venait de commencer. Des adversaires redoutables.
Et toujours le souvenir de ce dragon noir qui avait décimé son unité dans laquelle deux de ses trois frères avaient trouvé la mort.
Chaque personne se croit unique et pourtant chacun de votre interlocuteur vous dira le contraire par simple but de rabaisser son prochain ou bien parce qu'il le pense vraiment, le nain pensait cela ... Il avait la haine contre pratiquement tous, il s'ennervait tout le temps et se mettait de plus en plus de monde a dos.
A ce rythme il allait finir vraiment seul. l'Astre blanc, la lune le regardait son œil sans paupière nacré de blanc et de petits défauts a sa surface, l'astre éclairait son visage du moins ce que l'ont pouvait en voir.
un Valet de coeur mort, un as de trèfle grillé, des fausses informations donnés, et des énigmes résolus par chance, touts ces facteurs impossible a comprendre lui avaient pourtant sauvé la vie une fois, le valet de pique se faisait redoutable et aucun moyen de le contrer ne venait au nain.
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http://www.deezer.com/listen-1358977trois jours plus tard un vent tonitruant soufflait dans les terres ingrates, le nain sur sa monture a demi desséché elle aussi arrivait au terme de leur chemin au sommet d'une colline caché par un bloc rocailleux une trappe s'ouvrait dans le sol. Il descendit de sa monture et souleva la trappe et un escalier se fit voir, allumé par des torches qui semblaient rester allumé en permanence, il descendait l'escalier tranquillement pour arriver dans une pièce lugubre mais pourtant éclairé par endroits. Le Bocal comme il l'appelait :
-un endroit coupé du monde dans une terre ou seuls les coyotes faisaient la loi, la pièce était rectangulaire avec une espace au centre ou plusieurs matelas étaient disposé, elle offrait le refuge idéale, les matelas avaient servis récemment. On le devinait aux couverture mal replié 4 matelas. Dans un coin on voyait un râtelier ou était entreposé plusieurs armements : une arbalète, un arc, des couteaux de différentes tailles, trois épées fines, une claymore, des haches de petites tailles, des flèches, des fusils, des tonneaux de poudres. Dans un autre coin un laboratoire d'alchimie avec plusieurs fioles différentes herbes, des liquides verdâtres dans de petites fioles, ou éprouvettes graduées, surement des poisons. Dans un autre coin on devinait un bureau, avec des étagères garnie de livres surement volés comme beaucoup de choses ici, le bureau était en désordres, des cartes géographies des textes cryptées... La planque du nain était un vrai bordel un mélange de musée et de bureau de travail pour un scientifique fou ou astronaute goblins sur un projet top secret, Fàldin n'était ni l'un ni l'autre mais un mixe des deux peut-être. Le nain se dirigea vert le bureau il s'assit sur la chaise, il alluma la torche au dessus du bureau en la fixant seulement, puis s'en voulu a lui même d'avoir utilisé ce qu'il avait juré de ne jamais réveiller mais il le faisait a chaque fois ici car c'était nécessaire. il ouvrit ce qui ressemblait a un carnet et écrivit, le carnet avait fait ses année il était usé, très usé. Il en était a la 578ème page... Il tourna la page ... il écrivit. c'était son moyen de faire le vide en soit écrire puis tirer les conclusions, pour ensuite tourner la page et aller de l'avant.
Cette fois ci il tourna les pages dans le sens inverse, il arriva a la page 147 précisément celle qu'il haïssait le plus.. il a lue, en entier, tourna la page, puis une larme se mit a couler sous son masque d'élémentium, il décidé de l'enlever ce qu'il ne faisait que très rarement. puis d'autres larmes vinrent s'ajouter a celle qui avait attend le bas du menton de son visage d'habitude si déterminé. la première larme tombait sur une page du livre et tacha la plusieurs lignes. ces lignes racontaient l'escapade pour fuir la montagne noire. Avait-il commit une erreur puor s'aventurer dans ce monde ou il n'avait pas sa place ... Qu'importait la mort allait bientôt venir, non les larmes provenait de quelques ligne plus tard ...
"et mon frère partit vers le Nord je ne sais pas ce qu'il adviendrait de lui mais chacun sa route".
Il revint a la page 578 ou il écrivit, "mon frère ta mort ne sera certainement pas vengé, j'ai besoin de garder la vengeance en moi même si Semelys est loin d'être pur, pour sauver d'autres âmes aussi pures et innocentes que la tienne l'était, en espérant que tu me comprendra un jour". Il tourna la page, y déposa une plume de faucon pour la marquer et ferma le livre.